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Les Turcs aux urnes

Ana SayfaHaber Les Turcs aux urnes
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01 Kasım, 2015, Pazar 12:10
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Selon le Monde 

 

Un scrutin législatif anticipé sous tension en Turquie

Le Monde.fr avec AFP et ReutersLe 1 novembre 2015 à 11h04Mis à jour le 1 novembre 2015 à 13h34

 

Le Figaro 

Des affrontements ont éclaté dimanche entre la police et de jeunes manifestants kurdes dans la ville de Diyarbakir (sud-est), au soir des législatives qui ont redonné la majorité absolue au parti du président Recep Tayyip Erdogan.

Les incidents ont débuté près du siège du Parti démocratique des peuples (HDP, prokurde), dont les derniers résultats indiquent qu'il pourrait obtenir un score national inférieur aux 10% requis pour être représenté au Parlement.

majorité absolue
Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 01/11/2015 à 16:47, mis à jour à 18:38

Les électeurs turcs ont voté en masse ce dimanche lors des élections législatives. Selon des résultats partiels, le parti islamo-conservateur du président Erdogan arrive largement en tête avec plus de 50% des voix et rafle ainsi la majorité absolue 

Selon le Figaro
Le parti islamo-conservateur du président turc Recep Tayyip Erdogan a largement remporté les élections législatives cruciales qui se sont déroulées ce dimanche en Turquie, selon les premiers résultats partiels rendus publics par les chaînes d'information locales.

Sur la base de 42% des bulletins dépouillés, le Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) obtenait 53,4% des voix, selon NTV et CNN-Türk, sans qu'il soit encore possible d'affirmer avec certitude qu'il retrouvera ou non la majorité absolue perdue il y a cinq mois.

De notre correspondante à Istanbul

Un scrutin sous haute tension

Devant cette école bleue foncée, transformée en bureau de vote, Emine Kosarslan, une mère de famille voilée de vert, sourit. Elle sourit, dit-elle, parce qu'elle a choisi le parti “d'un homme fort, capable de protéger notre pays!” Nous sommes à Sultangazi, banlieue mixte et populaire d'Istanbul, où l'adhésion à l'AKP, le parti islamo-conservateur du président Erdogan, reste forte - y compris auprès d'une fraction de la minorité kurde. Mais vraissemblablement pas suffisante pour regagner la majorité absolue, perdue en juin dernier. Car ici, à l'ombre des sourires, il y a aussi tous ces silences. Une autre femme sort de l'isoloire, boucles brunes sur blouson de cuir. Le visage tendu, elle n'est pas très bavarde. “Oui, j'ai voté, car c'est important de voter… Je vous laisse deviner pour qui… On a peur, c'est tout ce que je peux vous dire”, souffle cette partisane du HDP, le parti de gauche prokurde, en pressant le pas.

Sous haute sécurité

En cette journée de législatives anticipées, placée sous haute sécurité, les bureaux de vote n'ont pas désempli. En tout, quelque 54 millions d'électeurs étaient appelés à se rendre aux urnes pour la deuxième fois en 5 mois, après l'échec de l'AKP à remporter la majorité absolue au scrutin du mois de juin. Partout, un seul mot d'ordre: “le retour de la stabilité”. Un mot sur lequel les différents partis, toutes tendances confondues, ont fait campagne dans un contexte particulièrement tendu, notamment depuis la reprise des hostilités dans le Sud-Est du pays entre la guérilla du PKK et l'armée - mais surtout l'attentat d'Ankara imputé à Daech. Mais les lignes de démarcation politiques, elles, n'ont pas vraiment bougé. Au contraire, elles se sont consolidées.

Bebek, véritable petit Monaco en bordure du Bosphore, en donne le ton. Dans ce quartier chic et branché d'Istanbul, situé sur la rive européenne, on vote avant tout “contre” Erdogan. “Je rêve d'un horizon plus clément pour ma fille de 13 ans. Je rêve de plus de liberté pour les femmes, d'une plus grande liberté d'expression, d'un pays qui regarde vers l'avenir, pas vers le passé”, insiste Timur Akkurt, un photographe de 42 ans. Une allusion aux dérives autoritaires de l'homme fort du pays, surnommé “le sultan” par nombre de ses adversaires. Blue-jean's et baskets, Taner Sarf dit, lui, avoir pris son vote “très au sérieux”. Pour ce monteur de cinéma, qui a choisi d'être représenté par le CHP (Parti républicain du Peuple, social-démocratie), ce vote est particulièrement “crucial”. “C'est peut-être la dernière fois qu'on me donne la chance de voter. Notre démocratie est en danger. Rien n'est vraiment clair. Je suis inquiet”, poursuit-il.

“Erdogan n'en rien à faire de tous ces morts, que ce soit du côté des soldats ou des Kurdes»
Sedat Emek, Kurde originaire de Mus
Il n'est pourtant pas si loin, le temps où Erdogan rassemblait, au delà de sa base populaire et conservatrice, une palette hétéroclite d'intellectuels et d'hommes d'affaires. Sans compter les Kurdes, nombreux à avoir d'abord été séduits par sa politique d'ouverture à leur égard. “A vrai dire, il n'a rien fait pour nous. Au contraire, il nous a bien trahi!”, avance Isa Kayhan, en référence à l'état de guerre qui prévaut aujourd'hui dans les zones kurdes. Cet épicier kurde de Fatih, le vieux quartier historique d'Istanbul, a retourné sa veste en juin dernier: “J'ai voté pour le HDP, car je me suis reconnu dans les discours de Demirtas (coleader du Parti démocratique des peuples), ses appels à la paix, son soutien aux femmes, aux minorités”. Aujourd'hui, pas question de reconsidérer son vote: “Erdogan cherche à discréditer le HDP en l'association au PKK. Or, d'après moi, c'est justement le seul parti qui peut nous sauver de la guerre”. Même son de cloche chez Sedat Emek, un Kurde originaire de Mus. “Erdogan n'en a rien à faire de tous ces morts, que ce soit du côté des soldats ou des Kurdes. Tout ce qui compte pour lui, c'est la sauvegarde de son palais”, lâche-t-il. Ce commerçant de 28 ans ne peut oublier non plus l'attentat d'Ankara du 10 octobre, imputé à l'Etat islamique, contre un rassemblement d'ONGs et de membres du HDP. “Ces derniers jours, l'AKP n'a cessé de stigmatiser les Kurdes, en nous faisant passer pour des terroristes. Or, les vrais terroristes, ce sont les combattants de Daech. Il est temps que les autorités nous protègent, au lieu de nous attaquer”, poursuit-il, amer. Signe de la volatilité qui prévaut, des heurts ont opposé, à la mi-journée des partisans pro-HDP et pro-AKP dans un bureau de vote du quartier Kocaeli. La police est intervenue en dispersant la foule avec du gaz lacrymogène.

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Elections législatives en Turquie: le parti d'Erdogan largement en tête

Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 01/11/2015 à 16:47, mis à jour à 17:20

Les électeurs turcs ont voté en masse ce dimanche lors des élections législatives. Selon des résultats partiels, le parti islamo-conservateur du président Erdogan arriverait largement en tête avec plus de 53% des voix et raflerait ainsi la majorité absolue au Parlement.

Le président Erdogan plaide pour le retour d'un "gouvernement d'un seul parti".

REUTERS

Il semble avoir gagné son pari. Selon des résultats partiels, le parti islamo-conservateur du président Erdogan a largement remporté les élections législatives turcs organisées ce dimanche. Le Parti de la justice et du développement (AKP) arriverait en tête avec 53,8% des voix et pourrait ainsi obtenir la majorité absolue au Parlement.

Seul maître du pays mais de plus en plus contesté, le président islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan espérait prendre sa revanche sur le scrutin du 7 juin, où son parti avait essuyé un revers retentissant en perdant la majorité absolue qu'il détenait au Parlement depuis treize ans.

L'AKP était arrivé en tête avec 40,6% des suffrages mais n'avait remporté que 258 sièges de députés sur 550, enterrant provisoirement son rêve de "superprésidence" aux prérogatives renforcées.

Un climat politique alourdi

Tout au long de la journée, les électeurs se sont déplacés en masse dans les isoloirs, placés sous haute protection policière. Aucun incident majeur n'avait été signalé en fin d'après-midi. Depuis l'élection du 7 juin, le climat politique s'est considérablement alourdi en Turquie.

En juillet, le conflit armé qui oppose depuis 1984 les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) aux forces de sécurité turques a repris dans le sud-est à majorité kurde du pays, et enterré le fragile processus de paix engagé il y a trois ans.

Erdogan s'est investi dans la campagne

En outre, la guerre qui sévit depuis quatre ans en Syrie a débordé sur le sol turc. Après celui de Suruç (sud) en juillet, un attentat suicide perpétré par deux militants du groupe jihadiste Etat islamique (EI) a fait 102 morts le 10 octobre à Ankara.

Véritable homme fort du pays, le président Erdogan a pesé de tout son poids sur le scrutin en plaidant pour le retour d'un "gouvernement d'un seul parti". Un nouvel échec de l'AKP remettrait un peu plus en cause sa volonté de garder les rênes du pays.

 

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Turquie: les errements d'Erdogan

 

Les quelque 54 millions d’électeurs du pays ont commencé à se rendre aux urnes dimanche matin. Les résultats seront connus dans la soirée.

Quelque 54 millions d’électeurs turcs ont commencé dimanche 1er novembre à se rendre aux urnes, dans le cadre des élections législatives. Les deuxièmes en cinq mois. Un scrutin crucial dans un pays sous tension, confronté à la reprise du conflit kurde, la violence djihadiste venue de Syrie et la dérive autoritaire de son gouvernement.

 

Les premiers bureaux de vote ont ouvert leurs portes à 7 heures locales (5 heures, heure française). Dans tout l’est du pays, ils sont sous protection policière comme a pu le constater l’envoyé spécial du Monde à Diyarbakir, la « capitale » kurde :

 
 

Au total, Près de 400 000 policiers et gendarmes ont été mobilisés pour assurer la sécurité du scrutin. Les derniers bureaux fermeront à 17 heures (15 heures à Paris). Les résultats seront connus dans la soiree.

Les rêves de « superprésidence » d’Erdogan

Seul au pouvoir depuis treize ans, le président islamo-conservateur, Recep Tayyip Erdogan, espère prendre sa revanche sur le scrutin du 7 juin, où son parti avait essuyé un revers retentissant en perdant la majorité absolue qu’il détenait au Parlement.

Sa formation, le Parti de la justice et du développement (AKP), était arrivée en tête avec 40,6 % des suffrages, mais n’avait remporté que 258 sièges de députés sur 550, enterrant provisoirement son rêve de « superprésidence » aux prérogatives renforcées.

Les sondages créditent cette fois l’AKP de 40 % à 43 % des intentions de vote, un score toujours insuffisant pour gouverner seul.

 

 

 

selon l express

Europe

Législatives en Turquie: des élections cruciales sous surveillance, les Turcs divisés

Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 01/11/2015 à 07:35

Pour la deuxième fois en cinq mois, les Turcs sont appelés aux urnes. Leur président, Recep Tayyip Erdogan, espère pouvoir retrouver la majorité absolue grâce à ce scrutin, même si les sondages lui sont défavorables.

Les militants du parti au pouvoir AKP attendent l'arrivée du Premier ministre turc à Ankara le 31 octobre 2015

afp.com/ADEM ALTAN

Deuxième scrutin en cinq mois. C'est dans un contexte de division et de tension que les Turcs participent ce dimanche à une élection législative cruciale, grâce à laquelle le président islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan espère prendre sa revanche sur le scrutin du 7 juin dernier, où son parti avait essuyé un revers retentissant en perdant la majorité absolue qu'il détenait au Parlement.

"La Turquie est devenue ingouvernable"

Dès l'ouverture des premiers bureaux de vote à 7 heures du matin dans toute la moitié est du pays, les quelque 54 millions d'électeurs inscrits se sont déplacés en masse, avec l'espoir de mettre un terme à l'instabilité et à la violence qui règnent dans leur pays depuis l'été. A Diyarbakir, la "capitale" kurde de Turquie, les électeurs sont venus voter très tôt et en masse, sous forte protection policière. Près de 400 000 policiers et gendarmes ont été mobilisés pour assurer la sécurité du scrutin, notamment dans le sud-est.

"Tout ce que je veux, c'est la paix et la fraternité. On a trop souffert ces derniers temps", a confié Mahmut Kiziltoprak, un partisan du Parti démocratique des peuples (HDP, prokurde) venu voter dans le district de Sur, théâtre récemment de violents affrontements entre des jeunes armés proches du PKK et la police.

"Il faut un changement pour que notre pays puisse reprendre son souffle. La Turquie est devenue ingouvernable", a souhaité Ibrahim Yener, 34 ans, qui a glissé son bulletin dans l'urne dès l'aube dans le district de Cankaya à Ankara, un fief de l'opposition. "L'AKP a transformé ce pays en champ de ruines", a renchéri Selim Ciftçi, un ingénieur de 55 ans, en faisant la queue devant le même bureau, installé dans un lycée récemment transformé en école religieuse. "Ca suffit!".

Vers une nouvelle défaite?

 

Quelques semaines après l'attentat d'Ankara, et alors que le fragile processus de paix engagé il y a trois ans avec les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) est mis à mal, Erdogan espère toutefois reconquérir les urnes en se posant en seul garant de la sécurité et de l'unité du pays. "Dimanche est un tournant pour notre pays", a averti le président turc. Si notre peuple se prononce pour le gouvernement d'un seul parti, alors la stabilité pourra continuer". Après cela, j'espère que la nouvelle Turquie ne revivra pas les difficultés qu'elle a connues au cours des cinq derniers mois".

Seul au pouvoir depuis treize ans, Recep Tayyip Erdogan pourrait pourtant connaître une nouvelle défaite. Les sondages créditent en effet son Parti de la justice et du développement (AKP) de 40 à 43% des intentions de vote, un score toujours insuffisant pour gouverner seul.

Ses rivaux dénoncent sa dérive autoritaire, illustrée cette semaine par un raid spectaculaire de la police sur deux chaînes de télévision proches de l'opposition. "Il se voit comme le chef religieux d'un califat", a raillé le chef de file du HDP, Selahattin Demirtas. "Certains veulent rétablir le sultanat dans ce pays, ne les y autorisez pas!", a exhorté sur le même mode le chef du Parti républicain du peuple (CHP, social-démocrate), Kemal Kiliçdaroglu. 

En cas d'échec, les analystes politiques doutent des résultats des nouvelles discussions de coalition qui s'annoncent et anticipent déjà un nouveau scrutin dès le printemps prochain. "Le scénario le plus probable reste le même: encore des turbulences", estime l'analyste Asli Aydintasbas, du Conseil européen sur les relations étrangères.

 

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